samedi 12 juin 2010

[ANG - USA] Le match

Tout d'abord, le résumé du match par rds.ca... du québécois donc.

Et aussi parce que j'ai pris trop de photos, j'en ai fait un Album Picasa... Un exemple :
 

On échange

Ca vaut?

Sûr?

[Groupe B] Les matchs

Deuxième jour de la Coupe du Monde, et boulot. Bravo.

Mais attention, pas folle la guêpe, j'adopte ma place spéciale Euro - Roland-Garros - Tournoi des Six Nations - Wimbledon - H-Cup - Beach-Volley :

La classe non?

Donc j'ai pu aborder Corée du Sud - Grèce et Argentine - Nigéria sereinement. Bon, j'ai quand même raté le premier but Coréen pour cause de aller chercher du matos dans la réserve. Mais j'ai vu le deuxième but en vendant un téléphone. Fier.

Sont petits les Coréens là.

Changement d'angle de vue = personne dans la boutique, pas la peine de me planquer à droite

Un client : "Je peux venir voir le match ici jeudi ?"
Moi : "Si vous emmenez les chips..."

Calendrier intéressant

En bleu, ce sont des exams... Je suis bien parti pour réviser tiens.

[URU-FRA] Le match

Premier jour, première confrontation pour l'Équipe de France. Oui, j'aime y mettre des majuscules, ça lui donne un côté majestueux. On n'est pas encore rentré dedans que les automatismes ont repris le dessus : la soirée pizza-bière/Taillefine-foot(*) peut commencer.

Comme l'avant-dernier match de Coupe du Monde, la dream team Dédé-Loïc-moi est formée. Le décor n'est plus le même, des choses ont changé, mais là encore, les automatismes sont bien vite revenus. Faut dire qu'entre temps, on a mangé des matches de l'Euro, qualifié l'Équipe de France sans honte mais avec une infime dose de mauvaise foi, vu Lyon en demi-finale et assisté à des purges de L1. Le schéma est rôdé.

Heureusement que les pizza sont là. J'applique fièrement la technique parfaite pour découper une pizza en trois, je pousse le vice jusqu'à créer une part sans olive. Champion du monde avant l'heure. Pas trop le cas de l'Équipe de France, que je trouve plutôt bonne mais forcément brouillonne dans la finition. Premiers cris de rage contre Govou qui manque de pousser la balle au fond. Ribery court vite et bien. On a le ballon. Diaby est fort au milieu. Les Uruguayens sont invisibles. On va gagner, on est de retour. C'est déjà écrit : puisqu'on n'a pas d'attaquant, la technique française sera de marquer contre son camp. Loïc a même déjà prédit que ce serait le leitmotiv français pour ce mondial. Jouable, mais risqué.

Ah tiens, 75e déjà. Tirianri est rentré. Le sauveur ! Non, non, ça veut pas. Pourtant, on avait tout prévu : la taillefine dégueu en format plus grand, bien dosée pour être finie dans les arrêts de jeu ; les bières pour autant de buts marqués par la France. Autant dire que je l'attends toujours, ce 6-0. J'aurais pourtant tout fait. Certes, je n'avais pas mes toilettes, mais j'ai fait tout exprès de ne pas regarder les corners et coups francs dangereux français (oui, je n'ai donc pas vu les deux demi-actions intéressantes). Pour le dernier coup franc, à la 93e, j'ai bu ma dernière gorgée de Taillefine dans le couloir, loin de la télé. Rien à faire.



Je n'avais pourtant pas regardé...

Si : regarder le Canal Football Club, affligeant de débilité tant ils démontent l'Équipe de France par simple populisme, en faisant tellement trop qu'aucune crédibilité ne s'en dégage. Boh, ça se saurait, et les commentaires de Jean-Michel Larqué nous avaient mis dans le bain (on a douté que les Uruguayens nous faisaient mal avec leurs changements de rythme, nous).

De toutes façons, depuis le début du match, on savait qu'on ferait 0-0. Heureusement qu'on est assez naïf pour y croire encore.

(*) C'est bière OU Taillefine, hein.

On échange ?

Arf, je l'ai déjà...